Extrait du journal

nous risquerions pas à l’écrire, si notre confrère Le Quotidien ne cons tatait lui-même, ayant parmi ses amis tant d'orateurs officiels, que ceux-ci parlent trop. Ce n’est pas pour leur en faire le reproche, mais pour qu'on leur épargne une fatigue à la longue nuisible à leur santé et à leur rôle politique réel. Il s’agit surtout des ministres. A tout instant ceux-ci, sollicités, ti raillés, sont obligés de boucler leur valise et d’aller prononcer un dis cours sur un point quelconque du...