Extrait du journal

puis la rougeur apoplectique qui tout à coup avait envahi le visage de la pauvre femme.» sa chute inattendue sur le parquet... Elle lui racontait comment elle avait soulevé co corps inerte... quels premiers soins elle avait donnés...comment on avait envoyé cher cher le docteur... . . . . Et tenant toujours les mains de la jeune fille... l’attirant ainsi contre elle... elle parlait., elle parlait encore... quand la voiture tour nant brusquement sur un sol plus mou s’ar rêta tout à coup. , — Nous y voilà, fit la manucure d’une voix SiEnUmêmo temps, ouvrant la portière, elle attirait doucement Paulotte pour la faire des cendre... . ,, . — Car on était en ce moment et en ce lieu dans la plus complète, la plus silencieuse obscu rité». Jusqu’aux lanternes du coupé qui étaient éteintes.. ,,, , Et, en face de la portière ouverte, rien qu’une ouverture béante... une porto donnant sur un couloir vaguement éclairé par une lampe lointaine. — Ah! mon Dieu!... balbutia Paulotte, où sommes-nous ?.„ Ce n’est donc pas chez nous que que vous me ramenez !... Mais la manucure,sans brocher, et do sa voix la plus apitoyée : — Non, pauvre enfant... Je n’ai pas voulu tout vous dire... Votre tante était si mal... Il a fallu... — . , ,, Et profitant de la stupeur, de l’effroi où cette équivoque révélation jetait la jeune fille, elle l’entraînait en répétant : — venez... venez vite....