Extrait du journal

Lors du dernier congrès des Amicales d’instituteurs qui se tint à Marseille, beau coup de bons esprits déplorèrent que les préoccupations politiques eussent tenu dans ces assises de l’enseignement plus de place que l’instruction pure. On se serait cru dans un club en période électorale. Cétaient là, dans toute leur gravité, les syfnptômes du mal qui ronge l’Université et qui fait de la plupart des professeurs de la veille des candidats du lendemain. La tarentule des fonctions élues a piqué non nombre de maîtres d’école qui étaient excellents dans leur état et n’ont fait en suite que de médiocres législateurs. Peu à «eu . au lieu de se passionner pour Vins-...