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Le Progrès de la Côte-d’Or, 4 février 1904

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Le Progrès de la Côte-d’Or
4 février 1904


Extrait du journal

m Trahison — C’est bien pis. Toi, tu n’aimes pas ce pauvre Pierre, tu viens de le dire, tandis que moi, je l'aime et beaucoup, je l’assure. Il était mon meilleur ami. — Ton meilleur ami? Tu ne m’en avais jamais parlé ? — Parce que je n’en avais pas eu l'occa sion. Mais à présent... — A présent, sc récria impétueusement la belle tille, je t’ai retrouvé... f aime mieux renvoyer ce garçon-là, lui rendre ce qu’il m’a donné... Comme ça, je serai libre de t'aimer. Octave eut un petit frisson. Il eut peur de la catastrophe. il n avait point menti en disant qu’il aimait Pierre. Une très vieille amitié, remontant aux bancs du collège, les avait unis. . Plus Agé, Ociave de Lirzac s’était séparé de Pierre Loprz pendant toute la durée de tes éludes 4 Saint-Cyc,...

À propos

Le Progrès de la Côte-d'Or était un journal républicain radical basé à Dijon, fondé en 1869 par l'homme politique Joseph Magnin, conseiller municipal de Dijon puis membre éminent du gouvernement de la Défense nationale et enfin sénateur innamovible. Grand titre de presse régional, il cessera finalement de paraître à la Libération, en 1944 comme la plupart des journaux ayant continué de paraître sous l'Occupation.

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