Extrait du journal

Il ne faut pourtant pas perdre de Tue les élections sénatoriales des départements, au milieu des sujets de regret ou :. de surprise que nous donne parfois la politique quotidienne. L'essentiel est de triompher partout où cela nous est .Possible, et nos amis des départements ,.. nous assurent que cela n'est impossible nulle part, si ce n'est en Vendée peutêtre. Mais il faut,de la discipline et de l'activité. C'est à nous tous, électeurs, de raisonner ceux d'entre les délégués qui hésitent et de prêcher ceux qui ont besoiri d'être convertis. Dans l'Eure, dans la Vienne, dans l'Orne, dans le Haut-Rhin, dans la Sarthe, dans les Deux-Sèvres, dans le Tarn, nousavbns à gagner d'importantes batailles, qui seront disputées, mais que nous gagnerons si nous le voulons. Dans les Hautes-Pyrénées, nous constatons avec regret qu'il y a trop de candidats républicains ; pour que cette surabondance de candidats ne soit pas dangereuse, il faudra que lesdélégués se pénètrent bien de la nécessité de s'entendre au moins au second tour, et que les candidats les moins heureux, faisant d'avance le sacrifice de toute animosité, de toute rancune, tiennent leur désistement prêt dans leur poche en faveur de ceux de leurs -compétiteurs républicains qui auront obtenu au premier tour le plus de voix. Même recommandation pour le Tarn-et-Garonne, où un candidat républicain auquel on ne s'attendait guère a la malencontreuse idée de venir diviser les -Voix. Pour le Pas-de-Calais, nous avons aussi un conseil à donner....