Extrait du journal

Malgré le temps perdu, malgré la double saifinée de Borny et de Rezonville, la situation n'est d'ailleurs pas désespérée. L'armée française peut encore facilement, se soustraire à l'étreinte de l'adversaire. Celui-ci, le 17 août, au matin, n'est pas en forces les troupes d'AvensIebcn sont fourbues, épuisées par un combat inégal. Un simple effort des nôtres et le cercle qui se forme autour d'eux, qui les enveloppe déjà, mais qui n'est pas encore assez compact, assez résistant, sera rompu les deux branches de l'étau ne pourront se refermer....